Mort du streamer « Jean Pormanove » (JP) : que sait-on et où en est l’enquête ?
Il s’endort, il est filmé, et il ne se réveille jamais. Raphaël « Jean Pormanove » Graven, c’est parti comme une blague macabre, mais fini dans un cauchemar public. Alors… est-ce que c’était que du délire pour du buzz ou un système bien plus toxique ? On plonge.
1. La scène du chill qui tourne au drame
Yo, t’imagines la dinguerie ? Un live, « JP » dort tranquille. À Contes, dans les Alpes-Maritimes, un pote jette une bouteille pour le réveiller : pas de réaction. Panique en direct, coupure du live. Le parquet de Nice jette déjà un « pas de suspicion visible pour l’instant » et balance un mot-clé : autopsie en cours.The Times of IndiaLe JDDNumeramaladepeche.fr
2. Le passé sombre qui rattrape le présent
JP, c’était le gars drôle au départ, jeux et fous rires depuis 2020, TikTok, Twitch, Paris Games Week, etc.Wikipédia+1
Mais dej‘, en 2024, Mediapart éclaire du gros : Kick, c’est la Jungle. Contenus extrêmes, clips dégueu, humiliations en direct pour l’audience. Une vraie zone de non-droit.Wikipédia
3. Neymar & co : complices ou victimes du système ?
Naruto et Safine, les acolytes streamers, étaient déjà dans la nasse judiciaire depuis janvier 2025 : violences sur personne vulnérable, diffusion d’images odieuses.BFMTVWikipédia+1
Des vidéos refont surface, parlent de “10 jours et nuits de torture” — isolement, privation de sommeil, ingestion de trucs pas nets. Público choqué.Indiatimes+1BFMTVladepeche.frThe Times of India
4. Le message final… glaçant
Juste avant de partir, JP envoie un message à sa mère : “Maman, je suis coincé dans ce jeu, je veux partir mais on me retient…” C’est pas un délire, c’est un appel à l’aide.Indiatimes
5. Réactions & suite : de l’émoi à l’indignation
La ministre du Numérique alerte l’Arcom, dépose un signalement sur Pharos. Elle crie « horreur absolue ». Tout le monde demande des comptes.Indiatimesladepeche.frTF1 INFO
Les fans hurlent sur les réseaux : “C’est pas un con, c’est une victime du système.” JP n’est pas parti juste à cause d’un sommeil… On pointe du doigt Kick, des pratiques toxiques, des causes qui dépassent les personnages.
6. Et maintenant… qui tient le stylo de la justice ?
Des streamers mis en cause, mais pas encore condamnés. Présomption d’innocence, on ne pollue pas.
Kick, plateforme sous le feu : permissive, lucrative, laxiste.
Le corps social : nous, les spectateurs, responsables aussi. On regarde, on like, on valide. On alimente le problème.
Conclusion
Où est la responsabilité ?
Celle de l’individu JP, qui s’est laissé plonger dans un délire dangereux.
Celle de ses acolytes, dont les actes sont agressifs et filmés.
Celle de Kick, qui autorise le tout sans vraie régulation.
Et surtout, la nôtre : on consomme, on rit, on clique, on nourrit des travers.
Reste à voir ce que dira l’autopsie. Mais le vrai verdict : on doit remettre les compteurs à zéro sur ce qu’on tolère comme spectacle. Et vite.
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